Accusation - Garde Prétorienne

En ce 10 Janvier de la 2161 eme année.

Moi, Drache Siegfried, représentant de l’Ordre et soldat de l’armée conservatrice, conteste la véracité, et ce sous la juridiction du Colonel Sven D. Conrat, des bien fondé sur lesquelles repose l’existence du groupuscule armée portant le nom de la Garde Prétorienne.
Et réfute, et ce sous la juridiction du Colonel Sven D. Conrat, ses revendications politiques.

Cette accusation est fondé sur de nombreuse infraction direct envers la constitution de l’Ordre.
La légitimité de cette cellule n’est issue d’aucune dérogation ou ordre direct d’un Dirigeant.

J’annonce donc, que le groupuscule nommé la Garde Prétorienne, est en infraction direct avec le vingt et unième article de la constitution de l’Ordre. A savoir que nul personne n'a le droit de prendre part à la direction des affaires de l'Ordre, soit librement, soit par l'intermédiaire de représentants.

En absence de dérogation et conformément avec l’article neuf et onze de la constitution de l’Ordre. La Garde Prétorienne est destitué de ses anciennes et illégale appartenance aux armées conservatrice.

Par conséquent le groupuscule nommé la Garde Prétorienne, est en infraction direct avec les articles suivant :

Le premier article de la constitution de l’Ordre. A savoir que tous les êtres doués de raison naissent et demeurent sous la tutelle et juridiction du Dirigeant. Il est interdit de faire preuve d'insubordination envers le Dirigeant ou de ses représentants.

Le dix-septième article de la constitution de l’Ordre. A savoir que nul personne, aussi bien seule qu'en collectivité, a droit à la propriété d'arme, l'Ordre seul possède ce droit, tout comme il possède le devoir d'assurer la protection des Etres Civilisés.

Le vingt-neuvième article de la constitution de l’Ordre. A savoir qu’un individu a des devoirs envers l'Ordre.
Et que dans l'exercice de ses devoirs, chacun est soumis à ses chefs hiérarchiques, dont le plus haut représentant est le Dirigeant.

Conformément avec l’article neuf et onze de la constitution de l’Ordre. Les membres de la Garde Prétorienne sont destitués de leur état d’être civilisé. Ils n’ont plus droits de citoyenneté et sont jugés inapte à la société.

Cette destitution sera d’application jusqu’à ce que l'ensemble de la Garde Prétorienne soient apte à la société. Ces à dire, jusqu’à ce que la Garde Prétorienne reconnaissent l’Ordre et la suprématie conservatrice et jusqu’à ce qu’elle engage les diverses démarchent administratives afin de continuer ses activités en toute légalité.

Jusqu’alors la Garde Prétorienne sera jugé de groupuscule Terroriste et sera traité en conséquence.

Malcom Hedfield a écrit: [...] Qui m'aime me suive.